CPF menacé en 2026 ? Découvrez ma solution, avec la qualité préservée
- Aurélie GRANDADAM
- 4 nov.
- 4 min de lecture

Nous voilà déjà à la fin de l'année, et avec elle, une menace qui pèse lourdement sur le paysage de la formation professionnelle. Vers la fin du financement des bilans de compétences par le CPF : c'est le sujet qui occupe tous les esprits du secteur. J'en avais déjà parlé lors d'un précédent post, et les choses n'ont guère évoluées depuis...
Comprendre l'enjeu économique, c'est facile – l'État serre la ceinture et cherche des millions à réaliser. Normal, dans le contexte budgétaire actuel. Mais en tant que consultante en bilan de compétences, ce que je vois, c'est bien plus grave qu'un simple problème de chiffres.
Pourquoi cette menace m'a frappée de plein fouet
Deux réalités me font réagir avec urgence.
D'abord, l'investissement colossal qu'il faut consentir pour proposer de la qualité
Pour offrir un vrai bilan de compétences, il faut d'abord investir en soi. Pas seulement en euros, mais aussi en temps et en compétences. J'ai suivi une formation universitaire (DU en psychologie de l'homme au travail à l'université de Strasbourg), puis j'ai dû faire certifier mon organisme Qualiopi – ce qui représente un vrai coût, non négligeable. Et parce que je refuse de faire les choses à moitié, je me suis fait accompagner par SiqaConseils pour maîtriser le processus Qualiopi et être vraiment autonome ensuite. Six mois et plusieurs milliers d'euros plus tard, cette certification était en place.
Ensuite, l'angle – bien plus catastrophique – de l'arrêt de l'utilisation du bilan de compétences comme outil d'orientation, car plus financé !
À 16-18 ans, tandis que le cerveau est encore en construction, on demande aux jeunes de choisir. Parcoursup les presse, les lycées les orientent vers des parcours standardisés… alors que les neurosciences l'ont prouvé : la maturation du cerveau adolescent n'est pas achevée avant 20-25 ans. Ce décalage entre la pression à choisir et la capacité réelle du cerveau à prendre des décisions complexes, c'est un non-sens. Résultat : des jeunes adultes qui se retrouvent dix ans après, mal orientés, sans repères professionnels clairs, dans des métiers parfois peu adaptés.
( C'est d'ailleurs aussi précisément pour cela que je propose un bilan d'orientation jeune – qui permet de poser le cadre et d'explorer les possibles sous d'autres angles sans la pression de devoir choisir « le » métier de sa vie à 18 ans.)
Donc, une fois qu'on constate l'échec, ou l'erreur de son orientation,( ce qui n'est pas grave en soi !! ) l'étape du bilan reste incontournable pour se remettre en selle et être dans un job qui nous correspond mieux !
Ajoutez à cela la crise du travail que nous vivons actuellement. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : 94 % des salariés français ne sont pas ou peu engagés dans leurs entreprises, selon une étude Gallup. La « démission silencieuse » concerne déjà plus d'un tiers des actifs français, ces salariés qui ne font que le strict minimum, qui refusent les heures supplémentaires, qui se protègent mentalement en se désengageant progressivement.
Pendant ce temps, des secteurs entiers peinent à recruter, les burn-out explosent, et l'équilibre vie pro/vie perso devient un luxe. Où sont les outils pour vraiment réfléchir à sa carrière ? Le bilan de compétences est l'outil indispensable pour se poser, analyser sa trajectoire professionnelle en conscience, et décider en toute lucidité d'une évolution, d'une réorientation, ou même d'une validation de son parcours.
Certes, on peut le faire seul sur Internet, avec des quiz gratuits et des guides téléchargés. Mais honnêtement ? C'est loin d'être aussi efficace. Un accompagnement personnalisé, c'est la différence entre construire une maison seul avec des vidéos YouTube et prendre 10 ans pour le faire, et faire appel à un architecte qui connaît le terrain, le climat local, votre vision et vous accompagne au-delà du chantier.
J'ai décidé de passer à l'action !
Je ne pouvais pas me contenter de signer une pétition pour le maintien du bilan de compétences au sein du dispositif CPF . ( D'ailleurs si vous vous sentez concerné(e), c'est par ici ) .
Il fallait faire quelque chose de concret.
J'ai donc élaboré une formule d'accompagnement en bilan de compétences sans passer par le CPF. L'objectif ? Trois piliers non-négociables :
Préserver la qualité : utiliser les mêmes outils, la même méthodologie rigoureuse
Rester abordable : ne pas en faire une solution réservée aux privilégiés
Valoriser mon travail : reconnaître que cette expertise a un coût
La formule « Essentielle, à 990 euros » est née !
Elle comprend quatre rendez-vous en présentiel chez moi, dans mes locaux à Haguenau, complétés par du travail personnel structuré à domicile. Je conserve mon outil privilégié, Parcouréo, qui permet une vraie exploration des opportunités professionnelles cohérentes avec votre profil et vos aspirations réelles.
Et pour vraiment rendre cet accompagnement accessible si besoin : proposer un paiement en 3 fois sur 3 mois. Je veux que le frein financier ne soit pas un obstacle supplémentaire.
Alors oui, cette formule est "réduite" en terme d'accompagnement. On passe de 8 RDV à 4. Le travail personnel est plus conséquent aussi. Mais l'objectif reste inchangé : vous accompagner au retour à l'emploi.
C'est un manifeste plus qu'une simple offre commerciale
Je crois fermement que l'accompagnement en bilan de compétences n'est pas un luxe – c'est une nécessité sociale. Surtout quand les politiques publiques reculent.
C'est ma manière de rester aux côtés de ceux qui bougent vraiment, qui s'investissent dans leur parcours professionnel, qui refusent de subir passivement leur carrière. Car je suis convaincue que c'est seulement quand les gens avancent ensemble, guidés par des professionnels, accompagnés vraiment, que les choses changent collectivement.
Vous êtes concerné ? Agissez maintenant
Vous hésitez sur votre direction professionnelle ? Vous sentez que quelque chose doit changer mais ne savez pas par où commencer ?
Je vous propose un premier rendez-vous d'information entièrement gratuit pour faire le point ensemble. Sans engagement, sans pression – juste une vraie conversation pour explorer vos enjeux et voir comment je peux vous accompagner.
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